Une colline porte le nom de Buisson de Mai.
Elle a connu une cimenterie. Une discothèque. Et de faux militaires venus jouer à la guerre.
Depuis les ruines, j’invoque les mémoires : de l’usine, du DJ, la mienne, celles faites du passé qu’on porte sans l’avoir vécu et celles qui n’existent pas encore.